Qui suis-je ?
Je suis Héloïse, Naturopathe reconvertie depuis 2021, mais par essence depuis toujours…
J’ai grandi dans la proximité avec la nature, à la mer comme à la montagne, mais aussi dans un environnement où le sport était indispensable et l’assiette raisonnée.
Je suis une amoureuse des bons petits plats, des animaux, des librairies dans lesquelles je passerais mes journées.
Mais par dessus tout, j’aime le corps humain, et plus je l’étudie, plus il me fascine par la perfection de son fonctionnement.
Pour me résumer en quelques mots, je dirais que je suis :
- Frileuse,
- Exigeante envers moi-même,
- Incapable de faire court (meilleur exemple rien que dans cette page),
- Ayant une fâcheuse tendance à vouloir essayer d’être drôle.
D'Endogirl à Naturopathe...
L’histoire est longue mais elle se joue en réalité depuis toujours…
Depuis longtemps, mes proches me demandent conseil au sujet de leur santé, me demandent des recettes de grand-mère. Cet art de vivre “naturo” a en réalité toujours fait partie de mon identité.
Petite, je voulais être infirmière. Puis j‘ai réalisé un bac Sciences Médico-Sociales : je voulais travailler dans la santé, aider, guérir, faire de la recherche… sans idée précise, après le bac j’ai finalement assouvi un désir plus fort : faire des études à l’étranger. J’ai donc embarqué pour les États-Unis, puis Paris pour faire du marketing.
15 ans dans le marketing et le conseil, et pourtant mon désir d’oeuvrer pour la santé ne m’a jamais lâchée, mais je ne savais pas comment y répondre.
En parallèle, à l’aube de mes 27 ans, après des années de souffrance, j’ai été diagnostiquée d’endométriose.
Le diagnostic posé, il a fallu faire face à l’errance médicale qui ne peut rien pour nous. Il faut serrer les dents et faire du mieux que l’on peut.
Avec l’endométriose vient souvent l’infertilité, pour ma part ce fut une galère de presque 3 ans avant d’être enfin maman.
Ces épreuves m’ont amenée à expérimenter la naturopathie : elle a été pour moi le seul moyen de faire reculer les lésions d’endométriose et les douleurs, grâce à une meilleure hygiène de vie, là où les médecins n’avaient aucune solution à me proposer.
Meilleure alimentation, micronutrition, exercice physique, gestion du mental, ont été les clés qui m’ont ouvert la porte de la maternité et du mieux-être.
C’est alors que 10 ans après le diagnostic qui a tout changé, en 2021 la naturopathie a fini par se révéler être ma vocation première : il suffisait qu’elle s’exprime !
FORMATIONS
- 2021-2024 : Formation de Naturopathe à l'Institut Supérieur de Naturopathie (ISUPNAT)
- 2023 : Formation massages Détox Naturo & Californien (Le Centre Tout Naturellement)
- 2023 : Formation massage Kobido (La Maison du Lotus)
- 2023 : Formation module Edelweiss (Fleurs de Bach et Elixirs contemportains DEVA)
Pourquoi m'occuper des femmes et des enfants seulement ?
J’ai grandi à la campagne, dans un milieu plutôt masculin.
Dès l’enfance, j’ai constaté qu’être femme n’était pas toujours un parcours linéaire. Se mettre en jupe pouvait susciter des réflexions, avoir les cheveux longs ou vouloir « se faire belle », c’était être une crâneuse. Ne pas faire de bisou pour dire Bonjour, c’était être une bêcheuse.
L’adolescence n’est pas en reste : la « coolitude » n’est pas permise à tout le monde, on nous demande de changer pour se faire accepter, pour “rentrer dans le moule”.
S’exprimer peut avoir des revers de médaille, la force de caractère que l’on doit développer pour s’accomplir n’est pas toujours bien perçue….
Pour toutes ces raisons, et des études l’ont prouvé, les femmes ont un moins bon accès aux soins que les hommes. Leur parole est moins crue. Elles sont moins écoutées, moins prises au sérieux.
Leurs douleurs sont minimisées.
Leurs maladies sont moins étudiées, et les solutions n’existent pas toujours.
Aujourd’hui j’ai envie d’utiliser mon énergie pour apporter un meilleur confort de vie aux femmes, pour que leur singularité puisse s’exprimer et qu’elles puissent avoir la force d’être elles-mêmes. Pour que leurs maux diminuent et laissent la place à leur rayonnement.
Et les enfants ?
Simplement parce que je constate qu’aujourd’hui il y a un cruel manque d’information sur l’hygiène de vie.
La publicité nous entraine dans un mode de vie qui nous est complètement délétère, particulièrement au niveau de l’alimentation et de l’exercice physique.
On nous dit qu’il faut “manger bouger”, mais les parents se retrouvent démunis : ils savent qu’il faut “faire bien”, mais ne savent pas comment.
Alors, convaincue que pour avoir des adultes en bonne santé et fertiles, les bonnes habitudes s’acquièrent tôt. D’ailleurs, les enfants sont souvent très volontaires pour agir pour leur santé.
Apprendre la santé, c’est comme apprendre une langue : poser les bonnes bases avant tout.